Ecarteur d’Ollier
Cet objet se compose d’une poignée renflée en forme de larme et d’une extrémité en double crochets émoussés.
Cet objet se compose d’une poignée renflée en forme de larme et d’une extrémité en double crochets émoussés.
Cet appareil se compose d’un réservoir en forme d’entonnoir pour introduire la préparation semi-rigide dans un cylindre qui sera poussé par un piston au moyen d’un bras de levier dans l’un des trois moules à suppositoires.
Les trois moules sont stockés sur le côté de l’appareil.
Il existe un marquage en relief sur le côté de l’appareil » supexpress N°2 Bte SGDG «
L’écarteur à cadre des Drs Hieguet et Van Eyck est constitué d’un cadre métallique. De forme carrée, trois des quatre angles présentent un dispositif pour insérer des irrigateurs. La partie inférieure du cadre est crantée.
Cet objet présente deux branches incurvées terminées par une poignée fenêtrée atraumatique à une extrémité et par un crochet d’appui à l’autre extrémité. Une des branches est solidaire d’une tige de section carrée sur laquelle coulisse l’autre branche.
Les billes, de surface convexe, pour le calibrage des opthalmomètres de Javal ou Helmoltz sont au nombre de sept. Elles sont disposées dans des alvéoles de mousse, dans un coffret. Ces billes ont des rayons variant de 6,6 à 8,5mm .
Une notice technique est placée dans le coffret.
Cet objet se présente sous forme d’une pince aux mors croisés inversés qui rendent la pince autoblocante.
La pince de Péan se présente sous la forme de ciseaux aux deux larges mors de forme ovale et dotées de rainures perpendiculaires à l’axe des branches.
La pince est dotée d’un système d’auto blocage par crémaillère au niveau des anneaux.
Objet en forme de crocodile en deux parties articulées avec une charnière au niveau de la tête qui permet de soulever la queue et de faire apparaître quatre alvéoles de tailles différentes et légèrement coniques, pour formater les bouchons en fonction de la taille du goulot.
Le mâche-bouchon repose sur un socle en bois.
Ce fauteuil présente un socle circulaire fixé au sol qui permet la rotation du fauteuil.
Toutes les parties du fauteuil sont mobiles à l’aide de crémaillères, de vis, de roues de serrage et de pédales qui permettent diverses positions et l’adaptation à la taille du patient.
L’assise en métal est pleine.
Le fauteuil présente des appuis-bras, des cale-épaules, des appuis-jambes, des cale-genoux, des cale-pieds qui ont des fentes permettant le passage de lanières de fixation en cuir.
Un appui-tête postérieur et un antérieur permettent le maintien de la tête.
Des tringles se rajoutent pour former une cage qui reçoit les champs opératoires.
Sur le dossier, une plaque rapporte le nom du fabricant (Guyot).
C’est un instrument qui se compose : d’un réservoir vertical, de type seringue, en métal. A une extrémité, il est fermé par un couvercle vissé dans lequel se loge un piston en bois tourné, à la poignée arrondie. A l’autre extrémité, ce réservoir est vissé sur un socle plat rectangulaire, arrondi aux deux bouts, fait de métal et de bois. Sur ce socle court un tuyau, issu du réservoir, qui se termine par une canule, recourbée vers le haut, en forme d’obus effilé et fixée sur un petit plateau arrondi.