Cet appareil en métal gris comporte un socle circulaire avec sur une face un interrupteur, sur l’autre face est branché un fil électrique noir (110 volts). De ce socle part un tube où s’insère une cuve en verre et qui se termine par deux oculaires encadrés par deux vis de réglage.
Cette balance de précision à deux simples plateaux est dans une cage en bois de hêtre à trois faces fixes vitrées et une façade fermée par deux portes vitrées qui s’ouvrent à l’aide d’ un bouton métallique. Sur un cadre entre ces deux portes est fixée une plaque portant la marque »Prolabo Paris », en bas une autre plaque indique la portée : « 200g, 1/10 milli, n°7190 ». Au tiers de la façade, un oculaire noir amovible est posé sur un pied à la base duquel se trouve un niveau rond à bulle. Au centre du fléau est gravé « Prolabo », son axe et un petit miroir mobile sont fixés sur une plaque en bakélite noire. Sur un côté, un bouton de métal blanc permet par rotation la libération des deux plateaux. A l’intérieur sont posés une boîte de bois contenant 6 poids de cuivre, 3 tampons à placer sous les 3 pieds réglables en métal, 5 cupules en aluminium.
Sur un socle en bois, muni de deux poignées, sont fixées : un tube en U manométrique, muni à sa partie supérieure d’un robinet de verre, un flacon de 600 cc, fermé par un bouchon dans lequel s’insère un tube de verre en T. La partie inférieure de ce tube est munie d’un long tuyau destiné à être relié à un trocart de Küss. A côté, un deuxième flacon non gradué, relié au premier par un tuyau de caoutchouc. Entre les deux flacons, est fixée une échelle graduée de 0 à 50. A côté du tube manométrique, il y a aussi une échelle graduée de 0 à +50 et de 0 à -50.
Sur un support en bois verni, muni d’un tiroir et de deux poignées sont fixées : une éprouvette formant gazomètre, graduée de 0 à 600 cc et reliée par un tuyau s’abouchant à sa partie inférieure à un flacon de 900 cc (manquant) et un tube en U manométrique. Une échelle en métal gradué de 0 à + 50 et de 0 à – 50 est placée près du manomètre. A droite du flacon est fixée une échelle graduée de 0 à 30.
Tube en verre, contenant au centre une graduation sur papier et à l’extrémité inférieure des petites billes métalliques servant de lest.
Tige métallique fixée à un manche en plastique avec à son extrémité une partie carrée et creusée en forme de louche.
Lot de tambours cylindriques destinés à la stérilisation en autoclave. Les tambours sont fermés par un couvercle verrouillable. Le tour des tambours comportent des ouvertures destinées à la circulation de la vapeur d’eau sous pression. Celles-ci sont obturables par rotation d’un volet. Une poignée de transport complète le dispositif.
Constitué d’un bol en émail muni de deux anses. Sur le dessus s’adapte un couvercle conique terminé en entonnoir et possédant sur trois côtés et en bas deux petits trous.
Ce réfrigérant comporte une branche descendante hélicoïdale qui s’enroule autour de la branche ascendante droite. Chacune de ces branches abouche à l’extérieur de l’enveloppe par un embout avec olive d’adaptation à un tube de caoutchouc pour l’arrivée et la sortie de l’eau froide. Le tube comporte en outre : en bas un embout à rodage mâle pour l’adaptation sur un ballon échantillon ; en haut, un embout à rodage femelle pour l’évacuation des vapeurs.
L’appareil est fixé sur un panneau de plexiglas. A droite, une chambre d’extraction des gaz, reliée à sa partie supérieure à une pipette comportant deux renflements. A gauche, un manomètre à mercure gradué de 0 à 70. Sur un support métallique, une ampoule destinée à contenir du mercure. La chambre d’extraction, le manomètre à mercure et l’ampoule de mercure peuvent être mis en relation par un système de tuyaux en T munis de robinets. Sur le devant de l’appareil, un interrupteur marche-arrêt et des boutons de réglage du temps d’agitation et de l’intensité de l’agitation. A l’arrière, un moteur