Rein Artificiel
Le rein artificiel ou appareil à hémodialyse est constitué d’une cuve externe circulaire présentant deux orifices pour entrée et sortie d’eau. Dans cette cuve, est placée une cuve intérieure de plus petite taille.
Une pompe à sang est intégré à la machine de dialyse et permet d’entraîner le sang vers le filtre artificiel. Un pupitre de commande des débits et des pressions accompagne l’appareil.
Matériaux - Techniques Acier inoxydable |
Fabricant / Période Division Travenol des laboratoires Baxter, Morton Grove (Chicago) ca 1960 |
Dimensions H : 100 cm ; L : 110 cm ; P : 62 cm |
État Moyen |
Destination Le rein artificiel est un dispositif thérapeutique permettant d'assurer de manière temporaire ou définitive les fonctions d'un rein défaillant, notamment en cas d'insuffisance rénale terminale : élimination des toxines dans le sang, régulation de l'équilibre hydrique. Ce procédé médical est également appelé hémodialyse. Le patient est relié pendant plusieurs heures, 2 à 3 fois par semaine, à cette machine dans laquelle va transiter le sang qui sera débarrassé artificiellement des molécules indésirables. Cette pratique permet également d'extraire une quantité d'eau non éliminée par le rein défaillant et de réguler les taux sanguins de certaines molécules. |
Précision d'utilisation Le collodion est composé de nitrocellulose dissous dans un mélange d'éther et d'alcool et conservée sous forme liquide (dans un récipient fermé) ou sous forme de film une fois le solvant évaporé. Il fut découvert par Louis Ménard en 1846. Le collodion se présente comme un vernis séchant rapidement et laissant derrière lui une feuille transparente et souple (assez semblable en texture et apparence à de la cellophane). Il sert à préparer des pansements et figure encore sur la liste des médicaments autorisés en Belgique ou en France. |
Date d'acquisition 29/08/2013 |
Origine des dons CHU de Rennes Patrick Le Pogamp |
Numéro d'inventaire CPHR - 2013.276 |
Copyright © Conservatoire du patrimoine hospitalier de Rennes |