Maillet d’orthopédie
Ce maillet entièrement en métal chromé comporte une poignée, une tige où est inscrit le fabricant Collin et terminée par une tête de percussion.
Ce maillet entièrement en métal chromé comporte une poignée, une tige où est inscrit le fabricant Collin et terminée par une tête de percussion.
Cette canule est constituée de 2 bras pouvant être écartés par le jeu d’une vis.
Elle est munie d’un canal pour irrigation, avec robinet d’occlusion.
Cette valve, légèrement concave, est munie d’un ergot sur son manche, pour une meilleure préhension.
Pince utilisée en chirurgie pour fixer les champs-tissu utilisés lors des interventions chirurgicales.
C’est un livre relié, couverture toilée noire, de 254 feuilles sur lesquelles sont imprimés le mois et l’année, puis douze colonnes qui permettent d’indiquer : le nom du pharmacien ou du préparateur, le numéro d’ordre de l’ordonnance, des détails sur les préparations : celles à usage interne et celles à usage externe, différenciées dans une colonne rouge/orangé, la composition des médicaments (substances employées et leur quantité en poids et en volume), le nom du malade, le prix du médicament. Les trois dernières colonnes permettent d’indiquer la présence de saccharine et de produits des tableaux A et B (les toxiques). Les numéros d’ordre sont rappelés au dos de ce registre (N°21 2849 au 21 7003).
La première page, datée du 23 mai 1931, porte le nom du pharmacien M Aubert et la ville où il exerce, Dinan. Ce registre a été signé au début et à la fin, officialisé par M Coutard François Commissaire de police, en application des lois des 19/07/1845 et 12/07/1916 sur la surveillance de la vente et achat des substances vénéneuses classées aux tableaux A, B, C.
Trois timbres fiscaux authentifient l’enregistrement de ce registre.
Les pages 239 à 250 indiquent en g et cg, l’utilisation par la pharmacien de ces substances, soit l’opium, la morphine, la cocaïne, l’héroïne.