La seringue vésicale de Guyon est constituée d’un corps cylindrique en verre et métal portant les graduations de 20, 40, 60, 80 et 100 ml.
Elle est munie à une extrémité d’un embout adaptable aux sondes vésicales. À l’autre extrémité, elle présente un embout vissé portant deux anses de préhension qui permet le passage de l’axe du piston lui même terminé par un anneau.
La seringue est accompagnée de deux embouts différents interchangeables.
La prothèse de hanche de Judet est constituée d’une tête hémisphérique en polyméthacrylate de méthyle ou plexiglas. Elle est montée sur un clou en métal de section circulaire. Ce clou est placé dans une gaine en plexiglas présentant des stries longitudinales et se termine par une pointe effilée à quatre faces planes.
Sur le clou, il est gravé « Ossacryl breveté », « Drapier » et les valeurs des gauges « 43 70 ».
La coffret d’électrothérapie, ou appareil d’induction Volta Faradique, se présente sous la forme d’une boite en acajou verni. Le couvercle est solidaire du fond par une charnière en laiton. Sur l’épaisseur des faces latérales, des bornes métalliques sont repérées par des indications gravées dans la masse du bois. Elles sont numérotées de de 1 à 5 ou notées « N » et « P ». Sur la face antérieure se trouve une cavité cerclée de métal.
Le coffret contient :
Sur le couvercle du coffret, une étiquette mentionne :
APPAREIL TROUVE
Breveté S. G. D. G.
Marque de Fabrique εύρηκα
εύρηκα (eureka) : « J’ai trouvé » en caractères grecs anciens. Ce qui fait allusion au nom de l’inventeur G. Trouvé.
La sacoche de médecin généraliste en cuir marron est composée de deux soufflets et munie d’une poignée en cuir. L’ouverture de la sacoche se fait par la face supérieure. Une languette ferme la sacoche au moyen d’un clip et d’une serrure. Cette sacoche contient :
Elle est complétée par une boite de forceps placée dans une sacoche de toile bordée de cuir et portant une poignée. La boite contient une aiguille d’épisiotomie.
Cet objet comprend trois parties : un miroir rond (la partie travaillante), le cou, le manche ou poignée. Le miroir est légèrement incliné par rapport au manche.
La précelle buccale est une pince, constituée de deux branches soudées à une extrémité et qui se terminent à l’autre extrémité par deux pointes recourbées qui font un angle obtus avec le manche. Les pointes constituent la partie travaillante.
Au milieu des branches, la partie recevant les doigts est crénelée assurant la sécurité de la prise de l’instrument par l’opérateur. Un petit ergot qui rentre dans un trou permet de rendre la précelle autobloquante.
La curette alvéolaire est un instrument qui comprend un manche long et droit qui se termine à chaque bout par une lame tranchante en forme de cuillère. Les cuillères sont de taille différentes.
C’est un instrument qui se compose d’un manche droit à section quadrangulaire et d’une lame fine, parallèle au manche, qui se termine en crochet. À la sortie du manche, du côté travaillant, il y a deux encoches, la place du pouce.
C’est un instrument qui se compose d’un manche droit, massif, à section quadrangulaire et d’une lame située dans le prolongement du manche. La lame s’amincit au bout et se termine en crochet ouvert. A la sortie du manche, côté travaillant deux encoches marquent la place du pouce.
C’est un instrument dont le manche a la forme d’un anneau ovale, qui se termine par une courte lame au bout légèrement incurvé.