L’exophtalmomètre est constitué d’une règle métallique graduée de 75 à 140 mm et de deux curseurs.
Chaque curseur est muni d’un miroir incliné à 45° et d’un appui latéral reposant sur le rebord orbitaire externe.
Un des curseur est mobile sur la règle.
L’exopthalmomètre est conservé dans un coffret de bois dont l’intérieur est capitonné de velours et de satin bleu.
Cet objet est composé d’une sorte de verre renversé sur lequel est monté une articulation munie d’un robinet et, raccordé à une seringue métallique destinée à réaliser l’aspiration.
Les prothèses oculaires ressemblent à de grandes lentilles de contact plus grosses et opaques incluant un iris peint à la main. Le blanc de la sclérotique et la vascularisation sont reproduits fidèlement pour un résultat proche de l’existant.
Les prothèses oculaires sont asymétriques. Un modèle est destiné à l’œil droit, l’autre modèle à l’œil gauche.
Ces deux prothèses correspondent à l’œil gauche.
Il s’agit d’un récipient en verre gradué (à la main) de 100 à 400 cc à usage d’entonnoir. Il était adapté à une sonde gastrique pour permettre les alimentations gastriques par gavage.
Cet électrocardiographe portable, fonctionnant sur batterie ou sur secteur assure l’enregistrement simultané automatique de six dérivations d’électrocardiogramme. Il présente sur le dessus un clavier numérique permettant d’entrer les données du patient, qui sont visibles sur un écran. Sur le côté, se situe un chargeur de papier thermique 145 x 100 mm. L’inscription se fait par un peigne chauffant. Les fiches de connexion pour le câble patient ou un scope se trouvent sur le côté de l’appareil.
Il porte le numéro de série 871222.
L’ampoule en verre ambré contient 10 g de solution de chloroforme.
Une étiquette en papier de couleur identifie le produit, le fabricant et mentionne sa toxicité.
Le spéculum nasal à fil de Palmer est constitué d’un fil de fer formant une anse circulaire et deux branches.
Ces branches possèdent des circonvolutions selon l’axe vertical et l’axe horizontal. Elles se terminent par deux billes. L’écartement est réduit par pression sur les branches.
Il est constitué de deux branches articulées sur un support fixe et présentant des rainures à leur extrémité. Une vis traverse le support et bute sur la base des branches en permettant leur écartement.
L’hémomètre est constitué d’une boite métallique de section rectangulaire.
Sur la face supérieure se trouve un écran circulaire gradué de 0 à 100 µA (microampères) sur lequel se déplace une aiguille. A gauche de l’écran, se situent les fiches d’alimentation électrique (fiches de couleur rouge et verte).
Un curseur est déplaçable devant les bornes notées 0 (lumière éteinte) ou 1 (lumière allumée). Une excavation est prévue pour recevoir des cuves de spectrométrie. En haut à droite, deux bornes noires sont destinées au branchement d’un autre instrument de mesure ultra-sensible. L’interrupteur général est placé en bas à droite.
L’hémomètre est protégé par une mallette en bois recouverte de simili cuir noir. La mallette est fermée par deux crochets et une serrure. Une poignée est positionnée sur la face antérieure. L’intérieur de la mallette est capitonné de velours et de moire de couleur grenat.
Une notice technique accompagne l’instrument.