Le microscope binoculaire inversé est équipé d’une tourelle support de six objectifs placés sous la platine porte échantillon. La hauteur de la platine est réglée par une vis macrométrique et une vis micrométrique. Le déplacement latéral est assuré par un guide objet.
L’éclairage est placé au dessus de la platine.
Le microscope est équipé d’un système d’observation en contraste de phase.
L’appareil, en métal de couleur gris clair, est formé d’un tube contenant la partie optique solidaire d’un arc de cercle sur lequel peuvent coulisser deux mires symétriquement par rapport à l’axe. Ces mires sont éclairées par des lampes. Une des mires est rectangulaire et de couleur rouge, l’autre comporte un dessin en escalier de couleur verte. Chaque mire est divisée par une ligne (ligne de foi).
Cette balance de précision à deux simples plateaux est dans une cage en bois de hêtre à trois faces fixes vitrées et une façade fermée par une porte vitrée coulissant vers le haut, pouvant être levée grâce à une petite languette métallique. Sous cette porte, au centre, un bouton permet la libération des plateaux. A l’intérieur sur un plaque de bakélite noire est fixé le support du fléau qui comporte une règle noire graduée de 10 à 0 à 10. De ce fléau part une longue aiguille qui se positionne à la verticale en bas sur une plaque blanche graduée de 10,5,0,5,10. Sur la plaque, près de l’axe, est fixé un niveau à bulle. Sur le côté, un bouton devait orienter un tige métallique. A l’intérieur sont posés trois petits disques métalliques à positionner sous les deux pieds réglables et le pied fixe à l’arrière ainsi qu’une boîte en bois contenant sept poids de cuivre pour les g,et une boîte ronde noire contenant 19 lamelles de cuivre et d’aluminium pour les dg et cg.
L’instrument repose sur un socle en fonte, muni d’un réflecteur à deux faces, une réfléchissante, l’autre diffusante inclinable par une vis de réglage, auquel est fixée une platine verticale en laiton. Sur celle-ci on trouve deux cuves en verre dans une gaine de protection en laiton. Deux plongeurs en verre de forme octogonale peuvent être déplacés verticalement dans les cuves le long d’une crémaillère. Ce déplacement est mesuré à l’aide d’une graduation en millimètres et d’un vernier situés au dos de l’appareil. Au dessus des plongeurs, deux prismes en verre dirigent la lumière vers une petite lunette en laiton. Une porte en tôle noire se referme sur la platine de support afin de protéger de la lumière.
Cet appareil en métal gris comporte un socle circulaire avec sur une face un interrupteur, sur l’autre face est branché un fil électrique noir (110 volts). De ce socle part un tube où s’insère une cuve en verre et qui se termine par deux oculaires encadrés par deux vis de réglage.
Cette balance de précision à deux simples plateaux est dans une cage en bois de hêtre à trois faces fixes vitrées et une façade fermée par deux portes vitrées qui s’ouvrent à l’aide d’ un bouton métallique. Sur un cadre entre ces deux portes est fixée une plaque portant la marque »Prolabo Paris », en bas une autre plaque indique la portée : « 200g, 1/10 milli, n°7190 ». Au tiers de la façade, un oculaire noir amovible est posé sur un pied à la base duquel se trouve un niveau rond à bulle. Au centre du fléau est gravé « Prolabo », son axe et un petit miroir mobile sont fixés sur une plaque en bakélite noire. Sur un côté, un bouton de métal blanc permet par rotation la libération des deux plateaux. A l’intérieur sont posés une boîte de bois contenant 6 poids de cuivre, 3 tampons à placer sous les 3 pieds réglables en métal, 5 cupules en aluminium.
Sur un socle en bois, muni de deux poignées, sont fixées : un tube en U manométrique, muni à sa partie supérieure d’un robinet de verre, un flacon de 600 cc, fermé par un bouchon dans lequel s’insère un tube de verre en T. La partie inférieure de ce tube est munie d’un long tuyau destiné à être relié à un trocart de Küss. A côté, un deuxième flacon non gradué, relié au premier par un tuyau de caoutchouc. Entre les deux flacons, est fixée une échelle graduée de 0 à 50. A côté du tube manométrique, il y a aussi une échelle graduée de 0 à +50 et de 0 à -50.
Sur un support en bois verni, muni d’un tiroir et de deux poignées sont fixées : une éprouvette formant gazomètre, graduée de 0 à 600 cc et reliée par un tuyau s’abouchant à sa partie inférieure à un flacon de 900 cc (manquant) et un tube en U manométrique. Une échelle en métal gradué de 0 à + 50 et de 0 à – 50 est placée près du manomètre. A droite du flacon est fixée une échelle graduée de 0 à 30.
Tube en verre, contenant au centre une graduation sur papier et à l’extrémité inférieure des petites billes métalliques servant de lest.
Tige métallique fixée à un manche en plastique avec à son extrémité une partie carrée et creusée en forme de louche.