Appareil d’électrothérapie

La mallette de l’appareil portatif de courant à faible puissance comporte :

  • un coffret contenant un rhéostat ainsi qu’un inverseur pour sélectionner la tension 110 volts ou 220 volts,
  • huit électrodes de formes différentes,
  • une prise d’alimentation électrique,
  • une sonde porteuse d’électrode.

Thermocautère du Dr Grobon

Le thermocautère est disposé dans un coffret en bois habillé de moleskine noire et tapissé de velours rouge. Le réservoir cylindrique contient le gaz combustible. Une pompe manuelle permet de comprimer le gaz et de l’insuffler vers le cautère par l’intermédiaire du tuyau en caoutchouc. Ce gaz est enflammé près de l’extrémité du cautère au moyen d’une petite lampe à alcool (deux lampes insérées verticalement dans le coffret). Le cautère (trois modèles d’embout) est tenu par un manche isolant en ébonite (manche en liège joint). Le réservoir est équipé d’un manomètre gradué de 0 à 3 Kg et d’un bouchon de remplissage.

Galvanocautère « cautère-lumière »

Boîte portative en bois contenant deux rhéostats, l’un pour la cautérisation et l’autre pour alimenter une source de lumière. Cet appareil est dit « cautère-lumière ». Des plots et des bornes permettent l’utilisation du cautère avec ou sans éclairage. La notice d’utilisation est apposée sur la face intérieure du couvercle. Sept embouts de cautères sont joints.

Clef de Garengeot

Cet instrument, destiné à l’extraction des molaires, est constitué d’une poignée en ébonite renflée en son centre, encerclée dans un anneau se prolongeant par un axe de 11 cm en acier nickelé, qui se termine par un crochet mobile.

Aspirateur pneumatique de Dieulafoy

Ensemble de matériel contenu dans un écrin de moleskine noire doublé de soie et de velours violet. Le cylindre de verre de la seringue est serré dans une monture en laiton. Le piston à 2 lèvres est en cuir. La tige de piston a une cannelure longitudinale graduée. L’embout de la seringue est constitué d’un robinet à 2 voies. La sortie des robinets comporte des cônes mâles dans lesquels viennent prendre place les embouts femelles des raccords. A la seringue s’adaptaient, soit des aiguilles (2) soit des trocarts (3). Les canules des uns comme des autres avaient un orifice latéral en avant de l’extrémité.

Ecraseur linéaire de Chassaignac

Il est constitué d’une tige métallique munie d’une poignée et de deux ergots latéraux mobilisables, permettant le réglage d’une chaîne incluse dans la tige. La poignée à cliquet permet de serrer lentement la chaîne autour de la masse en écrasant les tissus sans les sectionner ce qui réduit le risque de saignement (hémostase).