La machine à écrire en acier de couleur grise comporte un clavier AZERTY. Chaque lettre, en relief, est insérée sur l’extrémité d’une tige rigide « barre à caractère » qui frappe le ruban encreur. Un levier de retour de chariot manuel est positionné latéralement.
La machine à écrire en acier de couleur verte comporte un clavier AZERTY. Chaque lettre, en relief, est insérée sur l’extrémité d’une tige rigide « barre à caractère » qui frappe le ruban encreur. Un levier de retour de chariot manuel est positionné latéralement.
La machine est composée d’un boitier électronique et d’un écran articulé inclinable. Le clavier est relié à la base informatique par un cordon. Cet appareil dispose d’un enregistreur par disquette 3 pouces 1/2 et de connecteurs divers (sorties imprimante, data, écran ). L’ensemble est verrouillable et se transporte à l’aide d’une poignée rétractable.
L’étuve Poupinel est une caisse en métal émaillé beige clair à double parois entre lesquelles circule de l’air chaud. C’est un coffre avec porte en façade et commande électrique par un cadran de température allant de 60 à 240 degrés et une minuterie allant de 0 à 12. Au dessus de la porte, un thermomètre est gradué de 50 à 250 degrés.
Ce petit appareil parallélépipède (Nuova 2 stir plate) est composé d’un socle en aluminium peint en beige contenant un moteur électrique dont la vitesse régulée électroniquement entraîne un disque ou un cylindre magnétique qui à son tour entraîne un barreau aimanté aussi appelé « turbulent ». La vitesse de rotation varie généralement de 60 à 1200 tours/minute, elle est règlée à l’aide d’un bouton extérieur allant de 1 à 10. Ce modèle chauffant est règlé par un bouton allant de 1 à 10.
Le clystère est le mot anciennement utilisé pour désigner le lavement qui est réalisé avec cet objet.
C’est une seringue en étain possédant une canule à son extrémité. Le poussoir est en bois, manche et intérieur du corps de la seringue, terminé par deux rondelles de métal qui enserrent une couche de bourre.
Cette prothèse de hanche comporte une tige pleine et une tête fémorale. Elle était le plus souvent proposée à la suite d’une fracture de la tête du fémur.
Instrument chirurgical en deux parties : manche surmonté d’un poussoir en polyéthylène vissé
L’appareil comporte une grille métallique très fine, insérée dans un disque circulaire. De chaque côté du disque deux embouts permettent le raccordement au patient et au support. A l’entrée et à la sortie du disque, 4 mamelons où s’insèrent des tuyaux reliés à un capteur de pression différentielle. Un cable électrique permet d’assurer le chauffage de l’appareil.
Cette prothèse fémorale de hanche comprend une tige fémorale queue longue et une tête fémorale de 32 mm.