Moufle avec ressort de pression
Le moufle en bronze est constitué de deux parties en forme de cuvette qui s’emboitent. Un ressort avec socle permet la fermeture du moufle. De ce fait, une presse n’est pas nécessaire.
Le moufle en bronze est constitué de deux parties en forme de cuvette qui s’emboitent. Un ressort avec socle permet la fermeture du moufle. De ce fait, une presse n’est pas nécessaire.
Le moufle est une sorte de boîte, composé de deux parties rondes, un corps et un chapeau perforé en son centre, trou par lequel le moufle est rempli. Les deux parties s’assemblent par trois ergots. (un ergot manque).
La presse est constituée d’un socle qui reçoit le moufle et en assure la compression. On y retrouve trois ergots. Ce socle bascule sur un axe tenu par deux piliers. Les piliers sont fixés en haut sur une potence comportant, en son centre, une vis destinée à pousser une seconde potence coulissante. Sur cette seconde potence on retrouve deux ressorts, le tout permettant de tenir le moufle fermé.
Le fauteuil roulant est en bois de hêtre courbé, de style Thonet.
Les accoudoirs sont en bois. Le dossier ovale et l’assise sont cannés. Sur le haut et à l’arrière du dossier, est fixée une poignée en métal et bois.
Le fauteuil possède trois roues en gomme pleine, seule la roue arrière est directionnelle.
Le fauteuil est équipé de quatre barres métalliques horizontales situées sous le siège à deux niveaux. Ces barres sont terminées par des poignées en bois. Elles servent à soulever le fauteuil.
Une marche rétractable en bois équipe le fauteuil.
Le stent coronarien est un tube en métal maillé (en chrome cobalt la plupart du temps) serti sur un ballonnet, lui-même inclus sur un cathéter en PVC souple à 2 lumières. La première sert à acheminer la prothèse au niveau de la lésion artérielle en la faisant coulisser sur un guide métallique fin, l’autre est utilisée pour gonfler le ballonnet et ainsi appliquer le stent dans le vaisseau à l’aide d’un mélange liquide d’eau et de produit de contraste.
Le comptoir d’officine de Paimpol est un meuble en bois comportant :
Le style du meuble évoque le style Henri II.
Ce meuble nécessite une restauration. Il a été adapté à l’installation des outils informatiques.
La pince tire-langue du Dr Berger est constituée de deux mâchoires articulées autour d’un axe. Une des mâchoire se termine par deux griffes. L’autre mâchoire est de surface plate et de forme ovale. Elle présente deux échancrures latérales dans lesquelles s’emboîtent les griffes.
La pince possède un cran de blocage.
Le tampon encreur de couleur verte possède un système de cassette d’encre intégré.
Il est constitué de deux parties :
Ce tampon représente une paire de lunettes avec la mention « forme adaptée pour jeunes enfants ».
Le rachimanomètre de Claude, communément appelé « manomètre de Claude », se compose d’un capteur de pression circulaire gradué de 0 à 80 cm d’eau. Il est complété par un tuyau en caoutchouc, par deux aiguilles à ponction avec un mandrin (aiguille de Tuffier) et par un robinet à 3 voies.
L’instrument est présenté dans sa boite d’origine. Sur le couvercle de cette boite, une étiquette mentionne en caractères de couleur rouge et bleu : « ATTENTION ! RACHIMANOMETRE de CLAUDE – NE PAS STERILISER A L’AUTOCLAVE ».
Le nom du fabricant « Ets Spengler -Paris » est inscrit.
L’hématimètre est contenu dans un coffret rectangulaire recouvert de simili noir dont l’intérieur du couvercle est tapissé de satin jaune.
Dans des emplacements appropriés recouverts de feutrine marron, sont rangées :
Le porte-aiguille à pédale a été créé par de Jacques-Louis Reverdin et amélioré par George-Louis Gaudin. Il est constitué d’un manche massif avec 4 faces planes aux arêtes biseautées.
Le manche est prolongé par une tige dans laquelle est implantée l’aiguille de Reverdin. Placée le long de cette tige et au dessus du manche se trouve la pédale de commande.
Le Dr Gaudin invente un serrage de l’aiguille permettant de la faire pivoter autour de son axe. L’orientation de l’aiguille est maintenue par un système de blocage.